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L'AP SCIENTIFIQUE

11 janvier 2013

Le design

 

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Qu’est ce que le design ?

Le design est un mot anglais, c’est une discipline cherchant à créer des nouveaux objets ou environnements, il faut que se soit à la fois esthétiques et adaptés à leurs fonctions

En quoi consiste le design ?

Le designer est la personne travaillant sur le design. Il doit créer un des objets ou des environnements en respectant des contraintes. La réalisation doit être à la fois esthétique mais aussi pratique, ergonomique, il doit s’adapter au mieux sont utilisation.

Quelles sont les différents types de design ?

Le design est un domaine qui touche plusieurs secteurs tel que les Beaux-arts, l’architecture, la technique, l’ingénierie, l’innovation, l’industrie, les marques et le marketing. 

 

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Qu’est ce que les arts plastiques ?

L’art plastique est une discipline à part entière s’inspirant des autres disciplines existantes (musique, littérature, architecture…) pour créer sa propre forme d’art.

L'art plastique est le terme utilisé pour le regroupement de toutes les activités artistiques qui produisent des œuvres à plat ou en volume telles que le dessin, la peinture, la photo, la gravure ou encore la sculpture, la décoration, l'architecture....

Dans quels domaines peut-on parler d’art plastique ?

On peut parler d’art plastique dans tous les domaines aussi bien dans l’art en général qui comprend l’architecture, les constructions volumiques.

 

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Qu’est ce que les arts appliqué ?

Par Arts appliqués (AA), on nomme au XXe siècle le vaste secteur d’activités des designers, c’est-à-dire, ceux qui réfléchissent et travaillent la forme et la fonction de tout ce qui entoure l’individu : objets, habitat, vêtements,...

Il ne doit pas être confondu avec les Art Plastiques (production d’un seul objet original en matière de peinture, sculpture, architecture…), mais fait bien partie des beaux arts.

 

 

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Dans quels domaines peut-on parler d’art appliquer ?

 

Le design d’espace (architecture d’intérieur, paysagisme, événementiel…) ;

Le design textile (vêtement, haute couture, costume, tenues spécialisées, accessoires…) ;

 

Le design de produit (mobilier, objets industriels…) ;

Le design de communication (graphisme, pub, multimédia…) ;

Les métiers d'arts (vitrail, bijoux, céramique…).

 

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16 novembre 2012

Le dépression

depressionOn pense souvent que la dépression est due à un événement difficile, un licenciement, un décès…

En réalité les origines de la dépression sont bien plus complexes. Comment expliquer que certaines personnes vont avoir une dépression après un événement difficile alors que d’autres non ? Ou encore que certaines personnes font des dépressions alors que tout va bien apparemment dans leur vie ?

  La dépression est due à plusieurs facteurs : des facteurs biologiques, des facteurs psychologiques et des facteurs liés à l’environnement social et familial.

  Les facteurs génétiques

  Il semble exister une prédisposition génétique à la dépression, comme dans beaucoup d’autres troubles psychiatriques. Cependant, il n’existe pas un gène qui entraînerait une dépression à coup sûr chez quelqu’un. Cette prédisposition génétique serait plutôt un risque supplémentaire de développer ce trouble.

Les facteurs biologiques

  La dépression est une maladie entraînant des perturbations dans le fonctionnement du cerveau. La structure du cerveau n’est pas abîmer, comme elle pourrait l’être après un traumatisme ou une hémorragie inter-cérébrale, mais la communication entre les parties du cerveau est déréglée. Le cerveau est principalement composé de neurones. Les neurones s’envoient des messages entre eux par des messagers qu’on appelle neuromédiateurs. Dans la dépression, il existe un manque de certains neuromédiateurs.

En tout cas, corriger ces anomalies permet de retrouver un fonctionnement normal du cerveau et de guérir de la dépression à l’aide d’antidépresseurs qui augmentent les neuromédiateurs.

Les facteurs psychologiques

  On entend souvent que ce qui s’est passé dans notre petite enfance nous poursuit toute notre vie. Cette notion, inspirée de la psychanalyse, semble bien fondée dans la dépression. Des événements difficiles dans l’enfance, la façon dont on a vécu la relation à ses parents, le sentiment d’abandon qu’on a pu ressentir dans les premières années de vie sont autant de facteurs qui vont former notre personnalité mais aussi notre vulnérabilité à certains troubles psychiatriques comme la dépression.

Adulte, certains schémas de penser, en partie héritées de la petite enfance, vont favoriser la dépression. Ainsi, une mauvaise estime de soi, voir toujours tout en noir, sans voir les côtés positifs sont source de mal être et sont le lit de la dépression.

Les facteurs environnementaux

On comprend facilement que des événements de vie douloureux comme une séparation, un licenciement peuvent être le facteur déclenchant d’une dépression. De même, un stress perpétuel, dû à de mauvaises conditions de travail par exemple, peut participer à la dépression.

Ce qu’apporte la dépression :

Les émotions qu’elles éprouvent, les idées qui les traversent sont imprégnées d’une souffrance morale permanente, plus insupportable que toute autre souffrance déjà endurée. Autre différence avec les émotions habituelles de la vie, les personnes ont l’impression d’être coupées de leur entourage.

I)       Dérèglement physique

L’état dépressif se caractérise par un changement profond (une véritable rupture) par rapport au fonctionnement habituel. Trois éléments principaux sont typiques de cet état :

• une tristesse inhabituelle, différente d’après les personnes qui souffrent de dépression de la tristesse normale (cette tristesse est particulièrement intense, elle n’est pas « directement » reliée à une cause, rien ne l’apaise, elle se mêle d’angoisse et d’un sentiment de « fatalité ») ;

• une perte d’intérêt et de plaisir qui touche tous les domaines de la vie ;

• une association de plusieurs symptômes durables qui entravent douloureusement la vie quotidienne.

II)     Dérèglement intellectuel

mecanisme_depressionRalentissement intellectuel : en cas de dépression, il devient difficile de réfléchir, de trouver les mots, de parler avec fluidité. On a l’impression d’avoir la tête vide, que le monde est devenu trop compliqué, qu’on ne saura pas s’y adapter, y faire face. Il faut faire un effort très important pour accomplir des tâches qui, jusqu’alors, s’effectuaient naturellement, sans y penser.

Diminution de l’attention, de la concentration et de la mémoire : fixer son attention, ne pas se laisser distraire, retenir ce qu’on vient de lire… ces tâches deviennent très difficiles à accomplir lorsque l’on souffre de dépression.

Dévalorisation de soi et culpabilité : la personne qui souffre de dépression ne se sent bonne à rien ; elle se pense sans valeur ; elle s’accuse d’être responsable des événements pénibles qu’elle vit et des émotions désagréables qu’elle ressent. Cette impression lui paraît tellement définitive qu’il lui est difficile de demander de l’aide et de croire qu’un traitement peut changer quelque chose.

Pensées négatives : la personne analyse les événements de sa vie et les opinions des autres sous un angle systématiquement négatif. Ce pessimisme permanent retentit sur les proches et peut les décourager.

Pensées autour de la mort (la sienne, celle de ses proches ou la mort en général) : liées au sentiment d’inutilité et à la perte de plaisir déjà décrits, ces idées noires sont en fait « fabriquées » par la dépression et disparaissent à la guérison de la maladie. Les idées de suicide méritent dans tous les cas d’être signalées à un professionnel de santé.

Episodes dépressif à certaines périodes de la vie ou de l’année :

• Saisons : l’épisode dépressif peut survenir régulièrement à des moments bien particuliers de l’année, apparaître par exemple chaque hiver pour disparaître au printemps. On parle alors d’épisodes de type saisonnier. Cette forme est cependant assez rare ;

• Maternité : C’est une période à risque. L’épisode dépressif après l’accouchement (épisode dépressif du post-partum) ne doit pas être confondu avec le baby blues. Ce dernier est un moment de doute passager, facilement surmontable, qui se caractérise par le sentiment d’être débordée, de ne pas comprendre les demandes de son bébé. Il se manifeste chez de nombreuses femmes (près de 50 % des accouchées) quelques jours après l’accouchement. L’épisode dépressif du post-partum est, lui, une véritable dépression qui répond à tous les critères de la maladie (durée, symptômes, conséquences) et qui débute dans le mois qui suit l’accouchement ;

• Deuil : au cours des semaines qui suivent la perte d’un être cher, il est courant de ressentir des symptômes dépressifs. Ceux-ci font partie du processus normal de deuil. On peut avoir recours à un professionnel de santé ou à toute autre personne pour en parler et « atténuer » la douleur du deuil. Mais le recours au professionnel de santé pour une prise en charge spécifique devient absolument nécessaire si les symptômes persistent sur une longue période (plus de deux mois) ou sont particulièrement « envahissants ».

La dépression à tout âge :

• Enfants et adolescents : la plupart des caractéristiques de la dépression de l’adulte se retrouvent chez l’enfant et chez l’adolescent. Néanmoins, certains symptômes dépressifs peuvent être spécifiques à ces tranches d’âge.
Chez l’enfant, la dépression peut se manifester à travers des comportements de retrait, d’absence ou – au contraire – d’irritabilité, d’agitation. Seule une écoute attentive et avertie de l’enfant par un professionnel pourra la mettre en évidence. Chez l’adolescent, la dépression peut se manifester au travers de comportements nuisibles pour leur santé : abus d’alcool, de drogues, de médicaments (anxiolytiques, hypnotiques), états d’agitation, violence verbale ou indifférence apparente.

• Personnes âgées : la dépression (et le risque suicidaire) n’épargnent pas les personnes âgées, bien au contraire. Les symptômes de la maladie sont très semblables chez elles à ceux qu’on peut trouver chez les adultes plus jeunes mais la reconnaissance de la maladie peut être plus difficile à faire, en raison de la diminution de l’activité physique (et parfois intellectuelle), Pourtant, le fait d’être triste ou pessimiste ne doit pas être considéré comme normal lorsque l’on est âgé. Le traitement est aussi nécessaire et efficace à cette période de la vie que plus tôt. Il est donc nécessaire de se faire soigner.

Durée de la dépression

Elle peut aller de quelques semaines à plusieurs mois, voire plusieurs années. La plupart des épisodes dépressifs durent moins de six mois.

Une guérison totale (disparition de tous les symptômes) et durable est possible.

Mais le risque de réapparition de la maladie après guérison totale est important (dans plus de 50 % des cas). La réapparition des symptômes peut intervenir soit longtemps après le premier épisode, à l’issue d’une rémission (interruption) totale de plusieurs années, soit plus régulièrement, avec une rémission partielle entre les épisodes.

Dans certains cas, les périodes de rémission entre les épisodes peuvent devenir de plus en plus courtes. Cependant, lorsque la personne bénéficie de traitements et d’un suivi adéquats, le risque de réapparition des symptômes et la souffrance sont largement diminués. D’où l’intérêt d’une prise en charge précoce de la maladie.

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Aimez la vie, souriez !

 

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